St-Hubert reconnu pour sa performance environnementale

Recyc-Québec a reconnu cette semaine les efforts déployés par les rôtisseries St-Hubert au cours des dernières années pour améliorer et maintenir leur performance environnementale en renouvelant son attestation au programme ICI on recycle +.
La chaîne de rôtisserie avait été l’une des premières entreprises du milieu de la restauration à recevoir la distinction qui doit être renouvelée aux trois ans. Pour ce faire, l’ensemble des magasins ont dû être évalués et se sont vu décerner une note en fonction de l’ensemble de leurs activités. « Tout le monde a passé le test », confirme Josée Vaillancourt directrice communications et fondation chez St-Hubert.
Un résultat qui reflète le travail continu qui est fait par le groupe pour améliorer sa performance environnementale. Ils ont par exemple implanté le compostage chez 30 % de leurs franchisés, cessé de distribuer automatiquement des ustensiles à usage unique avec leur livraison et introduit de la vaisselle réutilisable dans les St-Hubert Express.
« Nous espérons que l’ampleur de l’implication de St-Hubert aura un effet d’entraînement dans le secteur de la restauration, qui génère et traite une importante quantité de matières résiduelles, » a déclaré Emmanuelle Géhin, présidente-directrice générale de Recyc-Québec.
Le programme ICI on recycle + vise à reconnaitre les engagements des entreprises pour améliorer leur gestion des matières résiduelles, mais aussi à les aider à mettre en place les mesures pour y arriver. Dans le cas de St-Hubert, ils ont pu avoir accès à l’expertise de Recyc-Québec pour les aider à mieux s’arrimer aux meilleures pratiques et à choisir les solutions les plus efficaces.
« Ils nous aident surtout en nous fournissant de l’information. Ils organisent des séminaires et on peut toujours les appeler pour leur poser des questions. C’est très utile, car les projets de performance environnementale sont toujours complexes et ce qui fonctionne à un endroit ne fonctionnera pas nécessairement à un autre », remarque Josée Vaillancourt.